jeudi 30 avril 2015

April 2015 & Olympus Pen E-PL7 (first review).

Pour mes 20 ans (ça remonte quand même, maintenant, ...), j'avais reçu un appareil photo numérique. Un Canon EOS 450D, tout récent à l'époque, et croyez-moi que c'était LE cadeau ultime dont je rêvais. Il m'as beaucoup servi, m'as suivi un peu partout, dans mes sorties, dans les soirées avec mes potes, les petits évènements, et puis parfois au quotidien, plus simplement. 
J'en ai fait des photos, des tonnes ! Des jolies, des parfois très réussies (à mes yeux du moins), et des loupés, forcément. J'étais de celle qui crachait en silence sur les gens qui se servent de leur iPhone pour prendre des photos, alors qu'un reflex peut en faire des bien plus jolies (c'est ce que je pensais, du moins ...). Pensée ridicule d'ailleurs, car il est de coutume de dire que ce n'est pas l'appareil qui fait la photo, mais bel et bien l'oeil et la sensibilité de celui qui se tient derrière l'objectif ...
Il m'as donc été fidèle pendant de nombreuses années, et puis j'ai fini par le délaisser, avec l'arrivée d'Instagram, préférant le petit lot d'avantages qu'offrait mon iPhone pour immortaliser mon quotidien. 
Moi qui avait toujours refusé de m'en servir pour faire des photos, je découvrais et admettais malgré tout, qu'il était, dans le fond, toujours sur moi, facilement transportable, rapide à utiliser, et que la qualité était quand même franchement bien foutue (soyons honnêtes !). 
OUI MAIS (parce qu'il y en a un gros qui plane au dessus de tout ce joli discours comme quoi "l'iPhone c'est cool"), j'ai fini par trop délaisser mon reflex, et à regretter, parfois, de ne pas l'avoir sur moi lors de certaines soirées ou sorties. Car, même si mon téléphone m'offre la qualité et la facilité, tout ça n'égale pas pour autant la qualité des photos qu'on prends avec un véritable appareil photo. Je me suis rendue compte que je ne faisais plus de photos qu'avec mon iPhone et qu'il m'était parfois difficile de revenir au reflex quand je devais prendre des photos pour le blog. Du coup, je publiais moins ici, les publications avec des photos personnelles étaient beaucoup moins présentes, et ça commençait à me chiffonner légèrement. 

J'ai donc passé le cap, fouiné sur internet, pris les conseils de certains de mes collègues, qui, un à un, se tournaient vers les hybrides, délaissant le reflex qui devenait trop lourd, trop encombrant, peu pratique et un peu redondant. 
Je rêve secrètement d'un Fujifilm XT-1, mais hors de prix pour mon budget et un peu trop perfectionné pour mon oeil franchement amateur ...

Sous les conseils très enthousiasmes de Julie (ce petit bouchon tout mignon qui gère le blog Lilla and The Birds (), et que vous connaissez peut-être déjà), je me suis tournée vers un hybride : l'Olympus Pen E-PL7. 
J'ai passé commande, j'ai reçu, j'ai testé, et depuis, c'est l'amour véritable. Le vrai, le fort, l'indispensable (oui, tout ça !).

Rien à voir avec mon vieux Canon tout empoté ! L'Olympus est léger, petit, pratique, avec un joli boîtier qui fait "vieil appareil photo", un écran qui s'incline et se retourne (pratique pour les "selfies" ou les photos avec les potes), une connexion WIFI à mon smartphone, une option "télécommande" depuis l'iPhone, et j'en passe. Enfin bref, c'est un véritable bijou et il me suit PARTOUT ! Je n'utilise quasiment plus que ça ! 
Les photos que je publie sur Instagram, sont au final, depuis la réception de ma commande, toujours prises (ou presque) avec mon Olympus. Je redécouvre le plaisir de faire des photos, des vraies, avec un appareil photo, et non pas mon iPhone et ses photos carrées difficiles à "rater", il faut bien l'avouer. L'iPhone offre ce confort de "photos faciles", mais au final, je préfère passer un peu plus de temps à prendre une photo avec mon appareil, plutôt que de me satisfaire d'une photo "tente Quechua", prise en deux secondes, un filtre et on en parle plus !

J'ai donc bien envie de l'utiliser au maximum, et de publier, pour le coup, un article à la fin de chaque mois, avec un pêle-mêle de photos offrant un rapide "aperçu" de tout ce qui est passé devant moi et que j'ai voulu immortaliser. J'ai quelques projets et évènements à venir que j'ai hâte de photographier et de partager avec vous. Le blog va donc enfin reprendre un peu de dynamisme avec un côté plus personnel et plus imagé. (Et c'est franchement pas pour me déplaire !).

Première série de photos "test" de l'Olympus Pen E-PL7, c'est parti ! 


Pour aller un peu plus dans le détail de ce tout premier "pêle-mêle", j'avoue avoir pas mal testé les performances de l'Olympus sur June et les chats de cette si jolie ville qu'est Trentemoult (ancien port de pêche très intimiste aux abords de Nantes), sur les p'tits potes de chez Time For Energy, qui jouaient en concert le soir même où j'ai reçu mon nouveau "jouet" et qui m'ont donné une bonne occasion de découvrir ce tout nouvel appareil dans des questions un peu plus difficiles (puisqu'il est courant de dire que les photos de concert sont loin d'être les plus simples à réaliser - et pour le coup, j'en ressors plutôt fière de moi !), sur cette petite fin de week-end à l'improviste, à la Couronnerie, dans la ville de Carquefou (promenade de fin d'après-midi "interdite", puisque nous avons appris en fin de parcours que la propriété été privée ... Peut-être que cela explique la beauté des lieux ... ). J'ai aussi dégainé l'appareil à la vue de ce petit lapin errant sur la place Bouffay, entre les chaises des passants, et qui s'est retrouvé à faire niaiser toute la table pendant quelques minutes, un dimanche en terrasse. Un peu de photos du shop de tattoo (Amaz'ink, tenu par Niko Mook) dans lequel je passe du temps (pour m'y faire tatouer ou pas, d'ailleurs), et la cathédrale, juste en face, qui commence à s'habiller de fleurs printanières. L'anniversaire de l'Ours, mon "frère" de coeur, mon ami pour encore des années, et puis Vicky, troisième membre de la Khømance (comme on dit chez nous), qui pose (à sa façon, certes) devant une toile de Marcel Samba (ce qui me pousse à vous dire de surveiller un peu ce qui se passe du côté de la marque de fringues nantaises Stacky Corp Clothing, puisque Stacky vient justement de s'associer à Marcel Samba (qui fait pas mal de visuels pour des mecs comme Benibla et Andreas Crew ou Hyacinthe et LOAS de DFHDGB) pour une collection de tee-shirts qui promets d'être franchement bien pensée, et qui sort lundi ! Plus d'infos ici !). Et enfin, afin d'immortaliser ce que le facteur a bien voulu laisser dans ma boîte aux lettres : un tee-shirt de chez DeParis, qui m'as fait sourire en le voyant sur leur shop et que je me suis empressée de commander pour pouvoir le porter de temps à autre (mais pas trop non plus, on peut vite tomber dans le vieux cliché ou comme un appel aux regards des passants, alors que je suis déjà bien servie, surtout avec les beaux jours ...). J'ai également reçu ma commande de chez The Dudes Factory, qui est juste une petite dinguerie et qui me permet de retrouver un peu de McBess, aussi bien dans ma garde-robe que dans ma cuisine 
Et le plus chouette pour la fin : Monsta, qui en voyant l'article que je lui ai dédié, à décider de m'envoyer une enveloppe remplie de stickers. Attention qui m'as beaucoup touchée (merci mec, c'est adorable !! ). Si tout les artistes réagissaient comme lui, je pense que j'aurais tendance à me sentir comme la veille de Noël à chaque fois que j'ouvre ma boîte aux lettres ...

On se retrouve le mois prochain ? 

mercredi 8 avril 2015

Brooklyn To West .

C'est déjà le dernier jour de mes vacances et je n'ai pas vu le temps passer. Les jours se sont enchainés à une vitesse qui m'as moi-même beaucoup surprise. Je n'ai finalement pas eu beaucoup de temps pour publier de nouveaux articles mais assez de temps tout de même pour mettre quelques articles de côté, dans mes brouillons, à publier plus tard. Quand le temps me manquera encore plus que ces derniers jours (même si la motivation qui m'arrive d'un peu tout les côtés - et le facteur qui sonnera sûrement plus d'une fois à ma porte dans les quelques jours à venir, vont me donner matière à venir déposer quelques articles ici de temps en temps). 

Je reviens aujourd'hui avec un article sur la jolie Ariele Alasko (avec un nom de sirène comme le sien, forcément on fait de jolies choses), qui travaille le bois depuis son petit atelier à Brooklyn et qui est connue sur internet grâce à son blog "Brooklyn To West". Je l'ai découverte grâce à un de mes (nombreux) collègues de travail, qui, lors d'une heure de pause, m'avait montré quelques photos des tables ou têtes de lit qu'elle fabrique en allant récupérer du vieux bois partout où elle peut en trouver (dans des vieilles granges abandonnées, des bennes à ordures ou dans des scieries, par exemple). 
A voir ses photos, et surtout la vidéo en fin d'article, tout paraît bien trop simple et presque "facile", mais il se cache derrière toutes ces images des heures de travail, de recherche et surtout un sacré talent. 
J'aime énormément ce qu'elle fait, la manière qu'elle as de travailler le bois, les différences de teintes, les "motifs" un peu "chevronnés" de ses créations. C'est très joli, et comme à mon habitude, j'avais envie de partager tout ça avec vous. Pas besoin d'en dire plus, je suis persuadée que vous pouvez en apprendre davantage à son sujet en fouinant un peu parmi tout les liens que j'insérerais plus bas dans mon article, et je pense que le plaisir des yeux pour les photos qui vont suivre, sera amplement suffisant pour vous faire apprécier son travail. 

Vous pouvez retrouver Ariele Alasko ici :
Site web / Blog / Shop / Instagram
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